ROMANS
Du thriller, du fantastique, de la sf, un peu de littérature blanche... disponible en version numérique ou papier.
THEATRE
Alcie
Dans le monde des sorciers, la petite école de Tongreden en Belgique s'est longtemps tenue à l'écart de tout. Ses élèves ne sont pourtant pas moins doués que ceux de Poudlard, mais il y a à Tongréden un secret qui plonge ses racines dans les temps les plus anciens. Ce secret, Alcie, Mounch et Arabesque vont devoir l'affronter lorsque, par négligence, les jeunes sorciers de l'école décident d'organiser pour les gens du village la plus grande et la plus terrifique des fêtes d'Halloween.
Troublerêves
ISBN 978-2-89717-634-1
Surveillé par les Doyens de l’Entrerêve, Jeremy, ado de 14 ans, est soudain confronté à une réalité qui dépasse ce que l’imagination la plus débridée peut inventer. Il détient un pouvoir qui crée d’importants troubles dans les courants éthérés de l’Entrerêve.
Toute une mythologie va se mettre en mouvement, des êtres disparus depuis des lustres vont renaître à la vie...
Sept mondes sont en grand danger... Jeremy va devoir agir, qu’il le veuille ou non... Lui seul pourra les sauver, lui seul pourra les rêver...
Chaos Blanc
ISBN 978-2-89717-413-2
Un petit village des Ardennes, deux tueurs de la pire espèce, un jeune Rom de 15 ans qui a « le don », un ancien flic auquel personne ne peut mentir, quand tous ceux-là sont réunis, il en résulte le chaos. Lorsque chacun laisse libre cours à ses pulsions les plus noires, il arrive que le plus banal des humains se découvre des pouvoirs aussi inattendus que terrifiants.
Vie misérable et fin médiocre de Robert Brasseur, comédien de province.
ISBN-68-3459876038524
Au théâtre « Molière », la petite bourgeoisie se complait à applaudir d’insipides spectacles depuis bien trop longtemps. Jean y fait ses débuts dans l’énième production d’un copier-coller fadasse de comédie parisienne lorsque Robert Brasseur, le patron du théâtre, trépasse dans des conditions pour le moins étranges… Jean qui était fermement décidé à éradiquer le vieillard du monde théâtral comme on écrase un cloporte importun en conçoit une légitime frustration. Il est floué de son meurtre ! Brasseur, sa vie, sa mort, c’est un peu la comédia des ratés. Un roman (presque)policier…
Je meurs souvent aux coins des rues
"Quatre-vingts pages. Quatre-vingts pages de bonheur à tricoter des petits malheurs (...) la déconfiture sentimentale et professionnelle d'un trentenaire, chroniqueur dans un journal engagé mais sociologue du bout des lèvres, universitaire sans ambition ni tendance au lèche-bottisme, « assistant quelconque pour un cours quelconque dans une quelconque université. Enfin à Liège. Mais quelconque ». Il y avait de quoi ne pas s'attendre à grand chose — au pire à une version cité-ardentesque du campus novel. Mais l'intérêt, on s'en doute, est ailleurs, dans la manière de dire, de planter les mots sur la page, d'organiser littérairement le rien des jours, de donner forme à une existence qui part à vau-l'eau."
Même Marielle en parle !
Sold out